Jean-Philippe nous détaille aujourd'hui les tenants et aboutissants du triangle psychologique de Karpman.
Romain présente à Geoffrey et Emma cet outil de PKM (Personal Knowledge Management) qui permet de stocker les informations pertinentes pour pouvoir les manipuler et les croiser par la suite.
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Ou comment faire pour enfin accéder régulièrement aux informations qui nous intéressent ou nous ont intéressées… et s'en servir pour générer de nouvelles compréhensions !
Jean-Philippe nous détaille aujourd'hui les tenants et aboutissants du triangle psychologique de Karpman.
Geoffrey nous présente cette semaine le livre "Foutez-vous la paix" de Fabrice Midal, ou comment arrêter de céder aux injonctions convenues.
Romain présente cette semaine l'Esperanto à Geoffrey et Jean-Phi, la langue créée à la fin du 19e siècle pour apporter la paix dans le monde.
Valérie Bogaert et Carole Cesareo, auteures du livre Libérer sa créativité nous livrent tous les secrets pour révéler son potentiel créatif.
Romain nous répond sur les différents thèmes et question fréquentes sur la méthode GTD
Jean-Philippe nous parle de la mythologie des marques. Les marques et leur communication font partie intégrante de notre paysage quotidien.
123 plus réponses
Bon, on parle de GTD et tout ça, c’est bien sympa, bosser mieux, ouais ouais, mais honnêtement, la question la plus importante de ce forum est immédiatement devenue la suivante :
Horde ou Alliance, Romain ?
NAN MAIS
Okay, on a trouvé celui qu’on fait sortir
Tiens, clique ce lien volontairement réduit. https://shrtm.nu/Ub8J
Et je te confirme qu’Obsidian est au contraire ultra intuitif une fois qu’on l’a pris en main.
Okay, donc oui, totalement. Obsidian est taillé pour le PKM (Personal Knowledge Management) qui est la version avancée des références type GTD. De la façon qu’il y a tout un versant de gestion de productivité né de GTD, il y a tout un territoire de gestion de la connaissance qui n’est quasiment pas abordé dans GTD.
Pour voir le résultat final, ben… le premier article explique la productivité de Niklas Luhmann.
C’est l’idée. L’atomicité, la connectivité et la formulation personnelle sont les trois aspects les plus importants du système. Pour les références, il faut vraiment voir ce dont tu as besoin. Je crois que seuls les universitaires ont vraiment besoin d’une rigueur maladive là-dessus (noter page, année de publication…) Cela dépend de tes besoins mais je trouve que c’est l’arbre qui cache la forêt. (Les gars de Zettelkasten.de sont des chercheurs)
Par contre, ce qui est vraiment important :
Un exemple personnel qui date d’hier : j’ai relié le principe scientifique « l’absence de preuve n’est pas la preuve d’une absence » au principe narratif « l’absence d’une information ne marque pas explicitement l’ignorance d’un personnage ».
La structure de mes notes dépend complètement des besoins de celle-ci. Parfois il y a des sources, parfois non. Je n’ai aucune structure a priori, comme ça je reste libre, le seul impératif, c’est l’atomicité.
MOCs et indexes remplissent des rôles semblables mais sont très différents :
Je préfère largement la fluidité et l’aspect non-contraignant des MOCs aux indexes / structure notes. Je fais les premières dans tous les sens, jamais les secondes.
Je te mets un exemple de fiche sempervirente (evergreen note / zettel) comme l’a fait @Romain (avec les liens vers d’autres fiches) – tu remarqueras que je me note que c’est un sujet à creuser, mais je suis suffisamment content de la fiche en l’état :